Un outil novateur pour sonder la diversite des ARN non codants

Un outil novateur pour sonder la diversite des ARN non codants

Le laboratoire génopolitain IBISC (Informatique, Bio-informatique et Systèmes Complexes – Université d’Evry / ENSIIE), en collaboration avec les biologistes d’IPS2 (Institut des Sciences des Plantes de Paris-Saclay), a mis au point une nouvelle méthode bio-informatique d’identification des ARN non codants. L’objectif est de séparer les ARN non codants des ARN codant pour la synthèse d’une protéine, tout en distinguant les cas ambigus, puis de classer les ARN non codants en fonctions des données biologiques. Les outils développés combinent deux types d’approche et reposent sur un système de réseaux de neurones appelé « cartes auto-organisatrices ». Une innovation méthodologique qui pourra révéler de nouvelles classes de ces ARN, dont on découvre aujourd’hui l’importance biologique !

Ces recherches bio-informatiques sont le fruit de la thèse de Ludovic Platon, dirigée par Fariza Tahi et co-encadrée par Farida Zehraoui, soutenue le mercredi 30 janvier 2019 à l’Institut de Biologie Génétique et Bioinformatique d’Evry.

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